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De Gaulle
 
   


Relevé dans l'annexe IV du livre du Général Challe:
"Notre Révolte"
 

Il écrit page 421, : QUELQUES EXTRAITS…
A FAIRE LIRE  PAR CEUX
QUI ONT VOTÉ « OUI » !

TÉMOIGNAGES SUR LA SITUATION DES FRANÇAIS MUSULMANS
ET DE LEURS FAMILLES – PRINCIPALEMENT MILITAIRES HARKIS

ENGAGÉS DANS L’ARMÉE FRANCAISE – 

 Paris, le 18 octobre 1962

Pour de strictes raisons de sécurité nous n’avons porté que les initiales des personne qui nous ont remis leur témoignage.
………………
Je vous confirme les termes de notre conversation téléphonique du jeudi 20 septembre 1962 concernant le sort des anciens supplétifs de Maillots (Grande Kabylie) restés au pays.

Partie 2

TÉMOIGNAGE DE K… Amar de la S.A.S. de Lentia, arrondissement de Mila (Constantine) : «  le sergent
-OURNADER Abdelkader, de la harka de Fdjer-M’sala du 15eme R.I.C., habitant à Lentia , douar Tassaden, était resté dans son village après la dissolution de la S.A.S. Il a été pris vers le 10 août par des civils encadrés des éléments de l’A.L.N. Il a été conduit sur la place du village, LA OU ETAIT LE MAT DES COULEURS.
IL A ETE DECORTIQUÉ A LA TENAILLE. IL A MIS TROIS JOURS POUR MOURIR.
Son frère  
-OURNADER Hocine à subi le même sort.  
-Son père, mutilé de guerre, officier de la Légion d’honneur, faisait fonction de garde champêtre, a subi le même sort.
Dans le même village de Lentia, le sergent  
-ABECHE Ahmed A ETE TAILLÉ EN LAMBEAUX DEVANT SA FEMME ET SES ENFANTS ET A AGONISÉ PENDANT QUELQUES JOURS DEVANT LA PORTE DE SA MAISON.
Quelques jours après, un autre sergent nommé  
-SLIMANE, a été tué à coups de bâtons dans les jardins.
Moi-même je me suis sauvé avec  
-A…Ahmed, également moghzani de la S.A.S. de Lentia ; nous avons réussi à rejoindre la France ;  
NOUS SOMMES ARRIVÉS A CLERMONT-FERRAND OÙ MON CAMARADE S’EST FAIT PRENDRE PAR LE F.L.N., A ÉTÉ TORTURÉ PUIS ÉGORGÉ.
J’ai réussi à rejoindre le camp de X… »
FIN DU TÉMOIGNAGE DE   K… Amar

TÉMOIGNAGE DE R…MOHAMED, harki durant cinq ans dans la région à Attouch :
« J’ai eu toute ma famille prise par les rebelles et exécutée.
-RAHMANI Mohamed ben Amar (maire)
-SA FEMME ET  
-SIX ENFANTS,
-RAHMANI Ali ben Amar garde champêtre,
-SA FEMME et  
-UN ENFANT.
-RAHMANI Said ben Ahmed harki,
-SA FEMME ET SES
-QUATRE ENFANTS.
-RAHMANI  Ahmed ben Amar harki et  
-SA FEMME
-RAHMANI Mohamed ben Ameziane harki, 
-SA FEMME et  
-SES DEUX ENFANTS.
-RAHMANI mohamed Saad harki.
J’ai eu également des camarades :

 -BENDAOUI Said ben Mohamed harki égorgé.
-BENDAOUI Mohamed haRKI,  
-SA FEMME ET  
-SES TROIS ENFANTS égorgés
-BENDAOUI Ali ben Haski harki, égorgé, ainsi que  
-SA FEMME   
-SA MERE ET  
-SA SŒUR.
-MEDDAR Mohamed  ben Ahmed harki, sa
-FEMME ET SES
-QUATRE ENFANTS EGORGES
-MEDDAR Mohamed Said harki, sa
-FEMME ET SES  
-NEUF ENFANTS EGORGES
.
-DJEBARRI Amar harki,
-SA FEMME et SES
-QUATRE ENFANTS
,
-DJEBARI Mohamed ben Amar harki,  
-SA FEMME et ses
-TROIS ENFANTS
.
-DJEBARI ben Amar harki,  
-SA FEMME et ses  
-TROIS ENFANTS
.
-SEDDIL, Ali harki et  
-DOUZE membres de sa famille
-SEDDIK SEDDIL harki,  
-SA FEMME et  
-UN ENFANT.
-CHARFAOUI  Mohamed harki,  
-SA FEMME et  
-UN ENFANT
.
-MEDDAR Amar ben Ahmed harki, 
-SA FEMME et  
-SIX ENFANTS
.
-SEMAOUNE Mohamed ben Amar harki, 
-SA FEMME et  
-QUATRE ENFANTS
-SEMAOUNE Mohamed ben Ahmed harki
-LABRI Said ben Ahmed harki, 
-SA FEMME ET  
-UN ENFANT
-LABRI Rabah ben Said harki.
-LABRI Mohamed ben Said harki et 
-SA FEMME.
Tous ont été enlevés, conduits dans le djebel et exécutés après avoir subi les pires atrocités.
Le nommé
-SEBBANE Tayeb, harki, a été littéralement coupé en morceaux.
Le sergent harki
-LAGHA Salah a été massacré à coups de pioche.
Le nommé
NAIT Belkacem Said, interprète de la S.A.S. d’Ouled-Rached, adjudant de l’armée française en retraite, médaillé militaire, après avoir été lardé de coups de couteau, laissé trois jours dans des W.C., traîné au bout d’une corde dans le village, est mort le 10 août 1962.

Les anciens harkis du secteur ont été ramassés dans chaque village, empilés dans des G.M.C. et massacrés au lieudit « Maison Cantonnière », où se trouvait auparavant le sous-quartier
.

Tous les hommes de la harka de Beni-Lalem, région de Zemmorah, arrondissement de Bordj-Bou-Arridj, ont été massacrés. L’un d’eux torturé, a crié aux gens de l’A.L.N. : « JUSQU’A LA DERNIERE GOUTTE DE SANG, NOUS SOMMES FRANÇAIS, VOUS POUVEZ NOUS TUER, CELA NE FERA PAS CHANGER NOTRE CŒUR. »

Cette harka célèbre dans la région pour son courage et son efficacité, était commandée par la riche puissante famille des BOUDACHE.            
Il existe un camp de prisonniers à Blondel, village entre Bordj-Bou-Arreridj et Medjana, M.

-BOUAZA, maire des Ouled-Dahmane, en particulier, y a été pendu, nu, par les pieds, passé au miel et livré aux abeilles.
Dans ce même camp, le député BENHALLA KHELIL, a été détenu.
M.ARAB ALI, maire de Sidi-Brahim et conseiller général du département de Setif, a été emmené à Akbou.
Dans le secteur de Mansourah, arrondissement de Borj-Bou-Arreridj :
Le maire de Harraza,
-BENCHABANNE SMAIL, chef du commando, A EU LES YEUX ARRACHÉS.

LES HARKIS DE HARRAZA ONT ÉTÉ MASSACRÉS.

Les harkis de Selatna, Ouled-Taier, Ouled-Yacoub, Hanana, sont au camp de Mansourah où ceux qui n’ont pas encore été massacrés sont toujours parqués. Le moniteur de jeunesse  
-SENANI Rabah Y EST MORT LE 12 AOUT.

Il existe à Melouza, par Mansourah, arrondissement de Bordj-Bou-Arreridj, actuel P.C. de la naya 321, un camp où sont parqués deux cents harkis et mokhazenis de Dahman-Daala et Beni-Ilman : Dans ce camp , le maire de Karrabcha,

-ARIBI ALI, a été torturé puis égorgé ; la famille BOUGUERRA, avait fourni à la France

-QUINZE harkis ou mokhazenis qui ont subi le même sort. Le chef de la harka de Hamman-Daala, un nommé

-TAHAR, A ETE ECORCHE VIF. »

Camp de Beni-Douala département de Tizi-ouzou :  
Aux Beni-Doula, un camp de représailles et de tortures a été ouvert dans les locaux de la S.A.S. du capitaine Oudinot.
Les harkis de la région y ont été internés. Certains, dont le harki  
-BELKACEM, ont eu LES PAUPIERES COUSUES. ONT ÉTÉ MAQUILLÉS ET HABILLÉS EN FEMME ET PROMENÉS DANS LE VILLAGE.

J’ai vu également le sergent AMRANI Mohamed ben Ahmed, le nez transpercé d’un fil de fer auquel était suspendu un poids, exposé à la foule. L’entrée coûtait 500 francs. Des coups de canne lui ont été administrés. Il est mort au bout de trois ou quatre heures. »

FIN DU TEMOIGNAGE DE K… Amar

Témoignage oculaire de M.B… :
« Voici ce qui s’est passé, en Algérie, à Trolard Taza après la libération :
Le F.L.N. a reconstitué les deux petites unités de harkis qui avaient mené le combat dans les rangs de l’armée française. Devant un grand concours de population, il les a disposés face à face, dans une arène improvisée, et leur a imposé une rencontre au poignard.
Comme la combativité des malheureux était médiocre, en dépit de la promesse de laisser la vie sauve à l’unité victorieuse, l’A.L.N., pour stimuler les énergies, a abattu sur le champ quelques harkis.
Le combat eu lieu, âpre et sauvage…
Et les survivants furent abattus, tous par l’A.L.N. et leurs corps abandonnés sans sépulture pendant plusieurs semaines. »

 TÉMOIGNAGE D’UN SERGENT-CHEF
Récit recueilli le 10 août 1962, d’un sergent-chef d’un régiment d’infanterie en garnison à l’A…près d’Alger :
« Le régiment rentre en France dans un mois environ. Comme nous ne faisons rien, même pas protéger les gens menacés , cela vaut mieux pour tous.
Je commandais en second un commando de chasse dans l’Algérois. Mes quarante Musulmans ont été pris par les rebelles, dans les premiers jours de juillet. Ils n’ont pas été tués tout de suite. Je crois savoir que certains sont encore vivants. Ils sont au camp de Taourtatsine, dans l’Atlas blidéen. A notre connaissance, c’est le camp le plus important de la région. Il y a peut être, plusieurs centaines de prisonniers . Parmi eux, des européens, femmes et enfants. Les rebelles les torturent peu à peu : on coupe un bras, le nez, on fait des plaies qu’on sale, etc. On s’en sert aussi comme ils disent, de « filles de joie », notamment les Européens. Quand leur état est trop lamentable et qu’ils ne peuvent plus servir à rien, on les tue.

Il n’est pas question d’émettre l’idée d’aller les délivrer, ce qui serait pourtant simple. Les cadres sont dégoûtés d’eux-mêmes et de ce qu’on les oblige à accepter.
Pour vous montrer où on en est, la wilaya 4, ou au moins certains de ses secteurs, dont celui de mon régiment, « interdisent » aux militaires Français de porter les décorations acquises en Algérie, c’est à dire les citations sur la croix de la valeur militaire et la barrette « Algérie » sur la commémorative. De très nombreux camarades, et officiers ‘obéissent » à cette ordre. Quand je dis qu’on ne fait rien, c’est si vrai qu’on n’intervient même plus auprès des commissions mixtes du cessez-le-feu pour obtenir des libérations de Français, Européens ou Musulmans que nous connaissons et dont nous savons où ils sont prisonniers. Si, dans une unité, nous demandons à agir, nous sommes sanctionnés où mutés. De même, quand il y a eu, en juillet, à Blida , Zéralda et d’autres points mais que je n’ai pu contrôler, des manifestations de civils musulmans avec drapeau Français et criant « Algérie Française « , l’A.L.N. a tiré dans le tas, et nous n’avons pas bougé. »

FIN DU TÉMOIGNAGE DU SERGENT-CHEF

NOTE RELATIVE A L’EXISTENCE DE CAMPS DE PRISONNIERS EN ALG
ÉRIE,
DANS LESQUELS SONT DÉTENUS A LA FOIS DES EUROPÉENS ET DES MUSULMANS AYANT SERVI LA FRANCE    

Un article intitulé « l’Algérie avec les Français qui ont peur » a paru dans Paris Match numéro 700 du 8 septembre 1962.
Cet article me semble très objectif. Il relate des faits qui ont eu lieu dans la région de l’Orleanvillois
en général. Cet article est à lire.

Il est exact qu’il existe dans toute l’Algérie des camps de prisonniers dans lesquels sont torturés aussi bien des Français que des Musulmans ayant servi la France. Il n’est pas rare de retrouver au hasard des chemins ou dans le fond des oueds des cadavres découpés en morceaux, exemple : quatre cadavres dans loued Bellah, près de Cherchell.

Voici quelques noms de camps de prisonniers :

I – CAMP DE BOIS-SACRÉ
C’est un ancien centre de repos des Sahariens. Il est situé à 1,5 km de GOURAYA. Il est occupé par une katiba depuis juillet, et des prisonniers y sont détenus depuis cette date : ex harkis : Cent y étaient internés vers le 15 juillet.
-Cinquante ont été exécutés vers le début d’août. Il n’en restait plus que vingt au début de septembre.
-Européens : Quelques uns ont été tués. Malheureusement, les renseignements sont devenus très rares. Ils émanent de très rares prisonniers qui ont réussi à s’échapper.
C’est ainsi qu’un ancien harki évadé est témoin que X…un Français a été enlevé le 14 juillet dans les environs de Marceau, puis transféré dans ce camp et enfin exécuté quelques jours après dans les conditions suivantes : ligoté à un arbre, LES YEUX CREVÉS, EMASCULÉ, LES MAINS ET LES AVANT-BRAS COUPÉS.  
Ce camp est connu, régulièrement repéré d’avion, d’où l’on peut voir les Européens et les Musulmans détenus installés dans des baraquements sur la plage. Les djounouds) soldats de l’A.L.N.) ont tous les droits sur ces prisonniers.

II – CAMP  DE SIDI-SIMIANE
Situé à 15 km au sud de Fontaine du génie :
D’après un témoin évadé, les prisonniers sont employés à des travaux de piste toute la journée (juillet et août). Si le travail est insuffisant, les intéressés sont roués de coups jusqu’à la mort.

III – CAMP DU DOUAR RIDANE
Situé à 15 km au Sud-ouest d’Aumale. En juillet, tous les harkis de la région y ont été rassemblés et divisés en équipes. Chaque soir, l’équipe qui avait eu le moins de rendement était  exécutée avec les raffinements habituels. Tous les gradés de ces anciennes harkas ont été tués. Un sergent de vingt-trois ans(quatre citations, médaille militaire à titre exceptionnel) est mort d’épuisement après quatre jours de tortures.
On peu encore citer d’autres camps : camps de MARCEAU, DE BOUSEMANE, DUPPLEIX…

PROBLEMES DES ENLÈVEMENTS

Les enlèvements continuent, hélas, en Algérie, et personne n’a l’air de s’en soucier outre mesure, Sait-on que plus de deux mille Européens ont disparu en Algérie depuis juillet, et qu’une quantité infime de ceux-ci ont été rendus ? Où sont les autres ?
Quant aux Musulmans qui avaient été fidèles à la France, c’est par milliers qu’ils ont disparu, dont la plupart ont déjà été exécutés.

SAIT-ON EN   FRANCE  QUE LES FEMMES ET LES JEUNES FILLES EUROPEENNES PRISONNIÈRES SERVENT AU PLAISIR DES SOLDATS DE L’A.L.N., AVANT D’ETRE ACHEVÉES QUAND ELLES NE SONT PLUS BONNES A RIEN ?

CONCLUSION

Etant donné que les autorités militaires et civiles ont connaissances de tous ces faits et des lieux ou ils se situent, on est en droit de se demander ce qu’elles attendent pour faire mettre un terme à tous ces crimes les plus odieux, qui sont à la fois un défi au bons sens et à l’humanité, et un affront perpétuel à notre pays.
Quand va-t-on se décider à faire respecter les accords d’Evian, pour sauver avant qu’il ne soit trop tard, ceux qui espèrent encore une hypothétique libération ?

 Le 20 septembre 1962

Notre commentaire :

  • vous remarquerez que de nombreuses victimes sont attachées avec du fil de fer. Cela rappelle l’un des derniers charniers que le gouvernement algérien les porteurs de valises et les braves Français défenseurs  du F.L.N. voulaient mettre sur le dos de l’Armée Française.

  • Un lieutenant Français voulant aider des harkis à rejoindre la France, fut muté par ses supérieurs. Bravo les supérieurs de la nouvelle armée, Bravo de Gaulle pour sa lâcheté.

  • Comme d’habitude depuis le putsch il ne faut pas désobéir au  « grand manitou » si l’on veut des gallons. Tenir des promesses ce n’est pas fait pour les officiers supérieurs  puisque agir comme le premier Magistrat de l’Etat n’est pas un déshonneur.

  • Et puis ce ne sont que des harkis, leurs familles et, mon dieu, quelques milliers d’Européens , des femmes et des enfants des autres pas les leurs. Alors pourquoi s’en faire outre mesure.

  • Qui a donné l’ordre au colonel  du Bordj de Guelma de rester l’arme au pied alors que les harkis et leurs familles se faisaient massacrer sous ses yeux ????

Et pourtant il y avait l’armée et les gendarmes qui selon les fameux accords d’Evian étaient là pour protéger les ressortissants français qu’ils soient Européens ou Musulmans.  

Voir le récit du caporal L… Brahim (P.431 pour ceux qui ont la chance d’avoir le livre du général Challe.   « notre révolte »

« Voici comment les choses se sont passées pour moi et les camarades de la S.A.S.

Fin juin, le lieutenant, chef de la S.A.S. nous dit de choisir entre la France et l’Algérie. Ceux qui choisiront la France seront protégés et évacués avec leurs familles. Les autres toucheront leurs primes et se débrouilleront. Tous voulaient la France.

On nous a emmenés avec les familles à Djidjelli. Mais là, on nous a dit que l’armée ne pouvait pas nous loger et nous protéger ; on nous a mis dans un garage dans le quartier éloigné d’Ouled Moussa et on nous a dit d’attendre le bateau. Nous n’étions pas protégés et on nous avait désarmés ».

 Ect..( Vous reporter au témoignage de L…Brahim.)

Pas bête d’exécuter les harkis et leurs familles au lieu-dit « la maison Cantonnière » prés d’un ancien sous-quartier de l’armée française, comme cela plus tard. Bien plus tard, ils diront qu’ils auront découvert un charnier dont l’armée française porterait la responsabilité.

Témoignage du sergent-chef d’un régiment d’infanterie qui raconte ce que l’A.L.N. faisait des prisonniers européens dans l’Algérois .

 ---==OoO==---

 QUI POURRAIT RESTER INSENSIBLE A CES ATTROCITÉS ?

-LE PAPE ?  -DES JUGES ? -DES PROCUREURS ? -LE TRIBUNAL PÉNAL INTERNATIONAL ?
-DES GOUVERNEMENTS ? -DES FONDATATIONS ?
-DES LIGUES DE JE NE SAIS QUELS DROITS ?

-QUI ? QUI ? QUI ?

 BIENSUR, LE GOUVERNEMENT ALGÉRIEN REPRÉSENTANT LES ASSASSINS DU F.L.N.
DONT ILS SONT ISSUS
PEUT RESTER INSENSIBLE.

CE FUT L’HORREUR – CE FUT L’UN DES MASSACRES LE PLUS HORRIBLE QUE L’ETRE HUMAIN  AURA COMMIS DANS CE VINGTIÈME SIÈCLE LES GÉNÉRATIONS DANS LE FUTUR AURONT A CŒUR DE CONNAITRE LES AUTEURS DE CETTE BOUCHERIE ET LES RESPONSABLES QUI AYANT LES MOYENS, N’ONT RIEN FAIT POUR L’ÉVITER.

 LES BOUCHERS SONT :
LES ASSASSINS DU FRONT DE LIBÉRATION NATIONAL –
DEVENUS ENSUITE  LE GOUVERNEMENT DE L’ALGÉRIE
ALGÉRIENNE,

 LE RESPONSABLES SONT :
Le général de brigade Charles de GAULLE,  
président de la République FRANCAISE AU MOMENT DES FAITS,
ET SES ACOLYTES Debré et consorts.

 De Gaulle donna l’ordre à son armée composée de plus de 500.000 hommes, victorieuse sur toute l’étendue des seize départements Français, de rester L’ARME AU PIED, laissant libre cours aux assassins du F.L.N. de commettre le pire des massacres des ressortissants Français que la France n’ai jamais connu dans son histoire.

 

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