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PLAINTE CONTRE L'ETAT ALGERIEN

Partie 2

Nous ne nous étendrons pas de façon détaillée sur la série déjà longue des attentats perpétrés dans les centres par les organisations terroristes du F. L. N. allié d'ailleurs pour ce sinistre travail aux techniciens du Parti Communiste.

Bombe fabriquée par le communiste Yveton et qui fut découverte avant son explosion

 Quelques documents photographiques et leur laconique légende montreront mieux que des phrases les odieux résultats de ces actes.”

Lorsque les auteurs de ces horribles attentats furent arrêtés, la Justice Militaire fut honteusement trompée  à la suite d’un stratège mis au point entre les assassins et leur avocat comme ce fut le cas dans l’affaire du jugement des deux poseuses de bombes ci-après .

Djamila Bouhired avait recrutée Djamile Bouazza et lui avait fourni les bombes qui explosèrent à Alger le 9 novembre 1956, rue Michelet et le 26 janvier 1957, au Coq Hardi.

Djamile Bouazza s'était comportée de façon fantasque et avait multiplié les excentricités devant le tribunal militaire. Maître Verges fit valoir que Djamile Bouazza était atteinte de folie et que donc le verdict de condamnation à mort de Djamila Bouhired était inique et criminel puisque le tribunal l'avait condamné sur le seul témoignage d'une folle.

Or le 22 juin 1957, Djamila Rouazza écrit, depuis sa prison, à Rachid Hattab une lettre dont l'extrait ci dessous, montre que sa folie ne fut que préméditée et fit partie d'une stratégie destinée à berner et ridiculiser la justice française.

Lettre de Djamila Bouazza annonçant comment elle va simuler la folie au procès de Djamila Bouhired:

TRADUCTION

"Vous verrez quel coup de théâtre le jour du jugement. Moi, particulièrement, je dois me mettre à rire et elle à danser la samba. Comme ça toute la salle va se mettre à rire, moi je vais me mettre à chanter et elle à re-danser. Le commandant devra faire lever l'audience et ce sera tout. Alors je pense que je vous ai assez embêté jusqu'à présent. Je vous quitte en vous envoyant toutes mes affectueuses pensées. Djamila. "

--=o=--

Regis Guillem dans son témoignage raconte la tragédie dont il avait  été témoin des premiers massacres du F.L.N. dans le Sud-Oranais, à Aïn-Séfra:

"j'ai pu voir avec horreur en 1956 alors que j'accompagnai mon père à une chasse au perdreau ce que les rebelles du F.L.N. étaient capables de faire.

Un couple de garde-barrière avait été assassiné dans des conditions dont je vous passe les détails, leurs assassins les avaient décapités, les têtes avaient été fichés sur des piquets qui furent plantés de part et d'autre de la voie ferrée.

A cette époque,  j'avais 12 ans. Pouvez-vous imaginer le spectacle? Tout au long de cette guerre j'ai été confronté à de multiples scènes de massacres, de violence".

-Document-FLN Témoignage de Regis Guillem suite à une émission Télé

--=o=--

Mon travail, comme celui de tous mes collègues de la Gendarmerie et de la Police,  consistait à constater toutes les infractions commises dans la circonscription en particulier les crimes perpétrés par les bandes citées plus haut et à en dresser procès-verbaux qui étaient transmis au Procureur de la République.

Je participais au  maintien de l’ordre avec l’armée, je constatais lors des accrochages, l’identité des criminels abattus et en rendais compte au Parquet et à ma hiérarchie. Tout était fait conformément aux lois qui nous régissaient à cette époque.

La plupart des constatations pour crimes se faisaient contre X…Les criminels n’étaient jamais poursuivis ou retrouvés en raison du manque d’effectif.

Le Parquet, la gendarmerie et la Police se trouvaient en face de cas relevant plus d’un État de guerre avec des lois applicables en temps de paix.

Les prisons débordantes de suspects et la Justice du moment agissant conformément aux Codes Pénal et d’instruction Criminelle devait les relâcher faute de preuve. Ceux-ci, une fois libérés regagnaient les bandes qui sévissaient dans la région.

Tout ceci pour vous dire, votre honneur, que nous faisions notre travail honnêtement et légalement.

Je croyais exercer mon métier pour défendre la Patrie en danger.

Nombreux sont nos camarades, des jeunes du contingent et des militaires de carrière, mais également des civils, femmes, enfants, hommes et vieillards qui, tombés entre les mains de ces bandes, furent tués après avoir subi  d’atroces sévices avant d’être égorgés.

Le 10 novembre 1956 Alors que je servais dans la Police d’Etat, déjà nous apprenions par les journaux locaux, en particulier l’Echo d’Oran,  les atrocités commises par ceux qui se faisaient appeler alors le FLN.

Jamais, même les Français-Musulmans que nous fréquentions, pouvaient imaginer une telle barbarie.. La population était sous le choc.

Il vous suffit de regarder les  photos ci-après pour avoir un aperçu de la sauvagerie de ces soi-disant êtres humains.

La photo  est celle du corps du Chasseur Falourd René qui avait été enlevé par des bandes armées et retrouvé par ses camarades dans cet état. Comme vous pouvez le constater ses tortionnaires ont mis à nu tout le squelette du bras droit en arrachant méthodiquement les chairs frémissantes du poignet à l’épaule. C’est pourquoi je me permets d’appeler ce genre d’humain des barbares avec l’esprit d’un autre temps et pour écourter la désignation de leur exploit, des bouchers.

Quant à cette photo, il s’agit du Médecin Maurice Feignon qui a été torturé au fer rouge et au liquide bouillant, avant d’être égorgé par ces espèces de fous que l’on appellera désormais des islamistes.

--=o=--
 


I
l faut préciser que dans l’exécution de leur mission auprès des populations indigènes, les Médecins, qu’ils soient militaires ou civils, ont payé un lourd tribut au terrorisme FLN. Celui-ci voulait couper les musulmans de toute attache avec la France. Mais quand même les moyens employés ne laissaient augurer rien de bon pour l'avenir de l'Algérie. Nous nous apercevons aujourd'hui que nous avions  raison de nous battre pour maintenir ces départements sous la responsabilité de la France seule garantie de paix et de prospérité.

 

--=o=--
 

[Partie 3]

 


 
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