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PLAINTE CONTRE L'ETAT ALGERIEN

Partie  9


Je pourrais arrêter là tous ces témoignages qui sont autant de preuves sur le comportement du FLN pendant et après l’indépendance de l’Algérie ».

 Mais afin de contre-dire les allégations mensongères de certains auteurs de ces massacres qui persistent à déclarer qu’il s’agissait là d’actes isolés,  je citerai le témoignage suivant suivi d’un second qui vous permettront en toute sérénité de porter un jugement en votre âme et conscience.. 

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Récit recueilli le 10 août 1962, d’un sergent-chef d’un régiment d’infanterie en garnison à l’A…près d’Alger :

« Le régiment rentre en France dans un mois environ. Comme nous ne faisons rien, même pas protéger les gens menacés, cela vaut mieux pour tous.

Je commandais en second un commando de chasse dans l’Algérois. Mes quarante Musulmans ont été pris par les rebelles, dans les premiers jours de juillet. Ils n’ont pas été tués tout de suite. Je crois savoir que certains sont encore vivants. Ils sont au camp de Taourtatsine, dans l’Atlas blidéen. A notre connaissance, c’est le camp le plus important de la région. Il y a peut être, plusieurs centaines de prisonniers. Parmi eux, des européens, femmes et enfants. Les rebelles les torturent peu à peu : on coupe un bras, le nez, on fait des plaies qu’on sale, etc. On s’en sert aussi comme ils disent, de « filles de joie », notamment les Européens. Quand leur état est trop lamentable et qu’ils ne peuvent plus servir à rien, on les tue.

Il n’est pas question d’émettre l’idée d’aller les délivrer, ce qui serait pourtant simple. Les cadres sont dégoûtés d’eux-mêmes et de ce qu’on les oblige à accepter.

Pour vous montrer où on en est, la wilaya 4, ou au moins certains de ses secteurs, dont celui de mon régiment, « interdisent » aux militaires Français de porter les décorations acquises en Algérie, c’est à dire les citations sur la croix de la valeur militaire et la barrette « Algérie » sur la commémorative. De très nombreux camarades, et officiers « obéissent » à cet ordre.

Quand je dis qu’on ne fait rien, c’est si vrai qu’on n’intervient même plus auprès des commissions mixtes du cessez-le-feu pour obtenir des libérations de Français, Européens ou Musulmans que nous connaissons et dont nous savons où ils sont prisonniers. Si, dans une unité, nous demandons à agir, nous sommes sanctionnés où mutés. De même, quand il y a eu, en juillet, à Blida , Zéralda et d’autres points mais que je n’ai pu contrôler, des manifestations de civils musulmans avec drapeau Français et criant « Algérie Française « , l’A.L.N. a tiré dans le tas, et nous n’avons pas bougé. »

FIN DU TÉMOIGNAGE DU SERGENT-CHEF

-Document - FLN Annexe IV Challe - livre "Notre Révolte" Sort des anciens supplétifs

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Voici comment l’Histoire est truquée au fil des années sans que personne ne s’avise de l’en empêcher.

Voici une interview de l’ancien ministre du gouvernement provisoire de la république algérienne M'Hammed Yazid  qui ose affirmer que :

« Le FLN n’a jamais donné d’ordre ou couvert ces actes isolés »

« Le FLN n’a jamais donné d’ordre ou couvert ces actes isolés »

L'ancien ministre du Gouvernement provisoire da la République algérienne (GPRA) a déclaré, hier, que «l'opinion française sera étonnée de savoir qu'un nombre considérable de harkis sont restés en Algérie où ils ont mené une vie normale».

Et de révéler dans un entretien accordé à l'Agence française AFP que «certains (harkis Ndlr) se sont glissés dans les arcanes du pouvoir et occupent aujourd'hui des postes importants».

Tout en évitant de lever le voile sur l'identité de ces commis de l'Etat, autrefois traîtres de la Révolution algérienne, celui qui a été porte-parole du FLN entre 1958 et 1962. a souligné que «les régions où ont eu lieu des exécutions de harkis, étaient des régions où la présence de l'armée française était la plus importante»

«Dans ces régions, comme à l'intérieur du pays, dira-t-il, de nombreuses unités (militaires Ndlr) françaises se sont comportées en effaceurs de citoyens algériens ». .

M'Hammed Yazid a reconnu cependant que des exécutions de harkis étaient réalisées durant les premières semaines qui ont suivi l'indépendance par des éléments qui n'étaient pas contrôlés par la direction politique et militaire de l'Algérie. Dans le même contexte, l'un des plus importants témoins de la guerre d'Algérie a attesté que

«Le FLN n'a jamais donné d'ordre ou couvert ces actes isolés» .

Contrairement au débat engagé depuis un mois an France où le FLN est accusé d'avoir ordonné la liquidation des harkis, M'Hammed Yazid a fait remarquer que «la seule mesure prise par les responsables du FLN a été de cantonner et de protéger des harkis qui ont demandé sa protection» .

Evoquant toujours les liquidations qui ont eu lieu en 1962 en Algérie, l'ancien porte-parole du FLN a rappelé qu'«après le cessez-le-feu, l'Organisation de l'armée secrète (OAS) a mené une action de liquidation d'Algériens dans les rues, tes écoles et les hôpitaux» .

A titre d'exemple, il a cité les massacres d'Alger, dont celui des dockers et les massacres d'Oran, qui, dira-t-il, «ont été d'une grande ampleur»

A la question de savoir pour quelle raison les accords d’ Evian n'ont pas été appliqués, M'Hammed Yazid affirme que «Les accords ont été dépassés par les événements»

Enfin par rapport à la spécificité des relations algéro-françaises, il a estimé qu'il est possible, quarante ans plus tard. d'effectuer «un recul nécessaire pour dépassionner le débat, mettre de côté les affectivités et avoir une approche plus sereine».

Pour conclure, M'Hammed Yazid lâche une phrase qui fera sans nul doute des vagues en France mobilisée pour la présidentielle:

«Je pense que si la guerre a autant duré, c'est parce que les forces politiques de gauche socialistes et communistes, qui ont voté les pouvoirs spéciaux, ont gelé le débat jusqu'en 1958.» .

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Vers la fin de l’ANNEXE - IV ont peut lire encore les preuves affligeantes de Crimes Contre l’Humanité voir Crimes de Guerre si ces termes peuvent être employés en la circonstance.  Crimes commis par le FLN  froidement et en toute conscience comme le prouvent de nombreux documents officiels qui en font état même avant les accords d’Evian et l’indépendance.

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NOTE RELATIVE  A L’EXISTENCE DE CAMPS DE PRISONNIERS EN ALGÉRIE, DANS LESQUELS SONT DÉTENUS A LA FOIS DES EUROPÉENS ET DES MUSULMANS AYANT SERVI LA FRANCE    

Un article intitulé « l’Algérie avec les Français qui ont peur » a paru dans Paris Match numéro 700 du 8 septembre 1962. Cet article me semble très objectif. Il relate des faits qui ont eu lieu dans la région de l’Orleanvillois en général. Cet article est à lire.

Il est exact qu’il existe dans toute l’Algérie des camps de prisonniers dans lesquels sont torturés aussi bien des Français que des Musulmans ayant servi la France. Il n’est pas rare de retrouver au hasard des chemins ou dans le fond des oueds des cadavres découpés en morceaux, exemple : quatre cadavres dans loued Bellah, près de Cherchell.

Voici quelques noms de camps de prisonniers :

I - CAMP DE BOIS-SACRÉ

C’est un ancien centre de repos des Sahariens. Il est situé à 1,5 km de GOURAYA. Il est occupé par une katiba depuis juillet, et des prisonniers y sont détenus depuis cette date : ex harkis : Cent y étaient internés vers le 15 juillet.

-Cinquante ont été exécutés vers le début d’août. Il n’en restait plus que vingt au début de septembre.

-Européens : Quelques uns ont été tués.

C’est ainsi qu’un ancien harki évadé est témoin que X…un Français a été enlevé le 14 juillet dans les environs de Marceau, puis transféré dans ce camp et enfin exécuté quelques jours après dans les conditions suivantes : ligoté à un arbre, LES YEUX CREVÉS, EMASCULÉ, LES MAINS ET LES AVANT-BRAS COUPÉS.

Ce camp est connu, régulièrement repéré d’avion, d’où l’on peut voir les Européens et les Musulmans détenus installés dans des baraquements sur la plage. Les djounouds) soldats de l’A.L.N.) ont tous les droits sur ces prisonniers.

II - CAMP  DE SIDI-SIMIANE

Situé à 15 km au sud de Fontaine du génie :

III - CAMP DU DOUAR RIDANE

Situé à 15 km au Sud-ouest d’Aumale. En juillet, tous les harkis de la région y ont été rassemblés et divisés en équipes. Chaque soir, l’équipe qui avait eu le moins de rendement était  exécutée avec les raffinements habituels. Tous les gradés de ces anciennes harkas ont été tués. Un sergent de vingt-trois ans(quatre citations, médaille militaire à titre exceptionnel) est mort d’épuisement après quatre jours de tortures.

On peu encore citer d’autres camps : camps de MARCEAU, DE BOUSEMANE, DUPPLEIX

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Le Général CHALLE  s’exprimait également sur les enlèvements et leurs problèmes et conclut son exposé en ces termes :

PROBLÈMES DES ENLÈVEMENTS

Les enlèvements continuent, hélas, en Algérie, et personne n’a l’air de s’en soucier outre mesure, Sait-on que plus de deux mille Européens ont disparu en Algérie depuis juillet, et qu’une quantité infime de ceux-ci ont été rendus ? Où sont les autres ?

Quant aux Musulmans qui avaient été fidèles à la France, c’est par milliers qu’ils ont disparu, dont la plupart ont déjà été exécutés.

SAIT-ON EN   FRANCE  QUE LES FEMMES ET LES JEUNES FILLES EUROPEENNES PRISONNIÈRES SERVENT AU PLAISIR DES SOLDATS DE L’A.L.N., AVANT D’ETRE ACHEVÉES QUAND ELLES NE SONT PLUS BONNES A RIEN ?

CONCLUSION

Etant donné que les autorités militaires et civiles ont connaissances de tous ces faits et des lieux ou ils se situent, on est en droit de se demander ce qu’elles attendent pour faire mettre un terme à tous ces crimes les plus odieux, qui sont à la fois un défi au bons sens et à l’humanité, et un affront perpétuel à notre pays.

Quand va-t-on se décider à faire respecter les accords d’Evian, pour sauver avant qu’il ne soit trop tard, ceux qui espèrent encore une hypothétique libération ?

Le 20 septembre 1962

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Ces deux documents sont issus de l’Annexe citée ci-dessus. Ces témoignages démontrent la brutalité et la sauvagerie du FLN depuis le début de ce que j’appellerai le "Drame des Français d'Algérie.

-Document - FLN Témoignage K. SAAD Moghazami
-Document - FLN Témoignage B. TAHAR Employé DRS Palestro

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Un compte-rendu établi sous forme de note confidentielle par le Sous-préfet d'Akbout (Sétif) M. ROBERT, adressé au vice-président du Conseil d’Etat Alexandre Parodi, fait ressortir deux grandes vagues de répression d’ampleur différentes dans son arrondissement. Imaginez qu’il y avait en Algérie 72 arrondissements et le chiffre moyen se situe en moyenne à 2000 tués par arrondissement pour cette même période.

 A noter également que l'on ne parle que de harkis alors que la proportion non négligeable de civils est de l'ordre d’un tiers constitué d’élus de tous rangs, de chefs de villages, d’anciens combattants ou de simples civils…

Etonné moi-même à l’époque, par le silence complice de la presse française métropolitaine,  je constate à la lecture de ce compte-rendu que le sous-préfet d’Akbou s’étonnait également que cette même presse consacrait si peu de place au massacre des amis de la France. Alors il écrit pour conclure:

« L'honneur de notre pays paraît plus gravement engagé et l'on peut être surpris que dans les rares articles de presse traitant de cette question, le nombre de victimes soit minoré dans de telles proportions, comme si la discrétion était de surcroît demandée aux victimes. »

Ce document accablant fait l’objet du document suivant joint à la plainte :

-Document - FLN Compte-rendu de M.Robert S-Préfet d’Akbou - Sétif

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La tuerie devait continuer après 1957 et se poursuivre en 1958 - 59 - 60 - 61- et à notre connaissance août 1962 -

Ensuite ce fut l'inconnue qui s'installa en raison de la collaboration sous le couvert des relations diplomatiques entre les gouvernements français et algérien..

Apres l'indépendance, la presse n’était plus intéressée par le problème Algérien et le FLN avait interdit tout journaliste sur son sol. C'est ainsi que les photos, les documents et les reportages devinrent une denrée rare.

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Sous le titre : « Des Harkis portent plaintes »,  un article de Frédérique LETOURNEUX, qui relate le désespoir et la douleur des parents de ses pauvres victimes et que personne en haut lieu a le courage de se pencher sur leur cas comme sur celui de l’ensemble des Français d’Algérie qui clament et réclame JUSTICE DEPUIS 40 ANS.

Il écrit :

Depuis 40 ans, ils attendent un geste de reconnaissance de la France. Ils réclament justice pour avoir été "abandonnés et livrés directement aux représailles du FLN" par le gouvernement français de l'époque qui voulait éviter un exode massif en métropole.
Des historiens estiment jusqu'à plus de 150 000 les harkis tués après la signature de la paix.

Pour Maître Reulet, qui assure en France la défense des harkis dans ce dépôt de plaintes,

"ces actes d'extermination perpétrés constituent, par leur ampleur et le fait qu'ils aient été perpétrés pour des raisons politiques, des crimes contre l'humanité."
Pour échapper aux représailles, plus de 60 000 harkis et leurs familles réussiront quand même à se réfugier en France, dans des conditions souvent dramatiques.
Après des années de lutte, les fils de harkis n'ont toujours pas panser les blessures de leurs pères. Habitués aux manifestations et même aux grèves de la faim pour faire connaître le drame vécu par leur communauté, les harkis espèrent aujourd'hui avoir une véritable audience.

De l’audience ? Je cours après depuis 1962 sans en trouver le moindre écho sinon que des non-lieux ou plaintes déboutées.

C’est pourquoi je dépose cette plainte avec l’espoir de trouver auprès de vous Messieurs Les Présidents, que je respecte, un peu d’audience et de justice.

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Le Livre Blanc, donne une liste de femmes assassinées entre 1956 et 1957, liste arrêtée au 1er juin 1957.

 Pouvez-vous imaginer Messieurs les Présidents à combien s’est élevé ce chiffre fin 1962 ? Vous avez le pouvoir de le rendre public et de rendre justice à toutes ces victimes qui attendent votre bonne volonté. Rien ne s’y oppose lorsque l’on veut.

P.83-84

Voici certains documents concernant les assassinats de femmes.

Le F. L. N. peut-il s'enorgueillir  de pareils forfaits  et les lâches auteurs de telles ignominies peuvent-ils se parer du titre de «héros» ?

Les esprits les plus libéraux peuvent-ils trouver une justification à ces crimes aussi horribles qu'inutiles ?

DJIDJELLI, le 21 Avril 1956.

Une femme musulmane, BENAMERA Messaouda, âgée de 24 ans, est violentée, puis odieusement mutilée par les rebelles F. L. N. qui signent leur forfait. - -

TOLGA, le 27 Juillet 1956.

Deux femmes françaises-musulmanes  enlevées à leur domicile par une bande rebelle, sont retrouvées égorgées.

ORAN, le 28 Août 1956,

Une bande de rebelles a fait irruption au cours de la nuit dans une mechta du douar Tafaraoui, Deux cultivateurs musulmans et leur vieille mère sont sauvagement égorgés.

SIDI-BEL-ABBÈS, le 15 Décembre 1956.

La femme et la fille d'un cheminot européen sont massacrées à coups de hache. .......

RELIZANE, le 4 Janvier 1957. -

Trois femmes et un enfant ont été massacrés dans l'attaque de la micheline

ORAN-RELIZANE, deux autres femmes ont disparu.

TENÈS, le 13 Mars 1957,

Au cours de la nuit de samedi à dimanche, une bande rebelle a attaqué la ferme GRIVE, située à POINTE-ROUGE. Les occupants de la ferme, Mme GRIVE, âgée de 76 ans, et ses deux fils ont été mutilés et égorgés

PICARD, le 20 Mars 1957.     ,

A 3 km de PICARD, un groupe rebelle égorge la famille MAKBOUL, Parmi les victimes figurent BOUMEHDÏ Yamina, âgée de 35 ans, qui était enceinte, et son fils Djilali, âgé de 9 ans,

ISSERVILLE-LE - 3-ISSERS, le 10 Avril 1957,

Mme ROMA, épouse du gérant de la ferme CHARTIER, est tuée d'une rafale de mitraillette.

CAMP-DU-MARÉCHAL, le 15 Mai 1957.

Une garde-barrière française-musulmane a été tuée par coups de feu, .

Ce sont là quelques cas seulement puisque le tragique bilan des femmes victimes des rebelles s'élevait au 1er Juin 1957 à 165 tuées et 54 disparues-

Le 17 mai 1957, vers 13 h. 30. plusieurs rebelles, armés de pistolets et de couteaux, font irruption dans la demeure de la famille AMRANE, cité CHIKHI. à BATNA : Fatma AMRANE, âgée de 39 ans, est tuée par coups de feu sur son lit; Khadra, sa fille, âgée de 17 ans, domestique, est tuée à coups de couteau; Kheira, âgée de 13 ans est atteinte au bras gauche et hospitalisée; Zohra, 9 ans, écolière, atteinte à l'abdomen, meurt à l’hôpital.

[Partie 10]
 


 
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